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30 décembre 2006

C'est LE moment...

Nous voilà bientôt rendus en 2007.

C'est le moment de faire le vide, ou de faire le plein: c'est selon...
Le changement d'année, c'est ce court instant où l'on se prend à espérer que l'année suivante va être meilleure ou tout aussi bonne... (jamais pire, vous remarquerez)
C'est humain. C'est la fin d'un cycle.
C'est la remise à zéro (
illusoire, idéaliste, hypothétique ?) du compteur de problèmes, de soucis divers et variés.

L'espace d'un instant, au moment où on lève sa coupe de champagne, on se prend à rêver que le tintement du verre va effacer l'année précédente (
ne me dites pas que durant une fraction de seconde, vous ne faites pas un rapide flash-back sur ce que vous n'aimeriez pas revivre ou ce que vous souhaiteriez au contraire qu'il se passe, lorsqu'un de vos amis s'écrit "Bon et ben, je lève mon verre à la nouvelle année, qu'elle vous apporte santé, joie, bonheur pour vous et tous vos proches...")

C'est immuable. Cela s'appelle la tradition.
Je ne critique pas. J'observe.
Je le fais aussi. Par tradition.
Et celle-là ne fait de mal à personne.

Et bien moi ...
Je suis content de passer à une nouvelle année.
Peu importe qu'elle s'appelle
2007... ce sera l'année de Peugeot, tiens...
(c'est un joli nom de voiture)
Je sais par expérience que tout ce que j'ai laissé sur la table le 31 au soir, sera là le lendemain: 1er janvier.
Et je ferai avec.

C'est LE moment,
pour vous dire à vous tous: mes parents, ma famille, mes amis...
que je vous aime...

...ça c'était vrai en
2006, ce sera vrai en 2007.

11 décembre 2006

SOIREE BABY BOOM SHOW

L'association La Rime présente:
Soirée BABY BOOM SHOW le 13 janvier 2007
Salle des Augustins à Pernes les Fontaines (84)
LUNCH (vin compris) 13 € (le prix vert c'est encore moins cher !)
21H30: concert blues - rock, répertoire Beatles, Presley, Stones, Téléphone, Blues Brothers...
Réservation obligatoire avant le 30 décembre
Résa: 04 90 65 49 48 ou 06 03 19 22 73
www.babyboomshow.fr
larime84@free.fr

Tout... c'est vraiment rien...

Aujourd'hui lundi, alors que je descendais sur Aix dans mon automobile, j'écoutais France Inter...
Jusque là: rien de transcendant je vous l'accorde.
Monsieur Dominique de Villepin était l'invité de la matinale et répondait vers 8h20 aux questions des auditeurs.
Une fois planté le décor (l'autoroute, 0°C à l'extérieur de l'habitacle, soleil dans le pare-brise et la tête dans le seau...) j'en viens aux faits.
J'ai appris une nouvelle expression.
Celui qui est capable de m'expliquer ce qu'elle veut dire, gagne mon estime (il me faut quelque chose de solide comme explication!), ma reconnaissance et un autre fonds d'écran de ma composition.
Je vous la livre telle qu'elle est parvenue à mes oreilles depuis la bouche de notre Premier Ministre:
"...IL FAUT ARRÊTER DE FAIRE CROIRE AUX FRANçAIS QUE TOUT EST DANS TOUT ET INVERSEMENT..."
de deux choses l'une ou cette expression existe et alors là... j'avoue humblement ne pas la connaître bien qu'étant friand de ce genre de phrase... et j'avoue surtout ne pas la comprendre... ou bien alors, elle n'existe pas et dans ce cas-là, c'est une merveille: c'est vraiment l'art de faire une phrase de 15 mots pour ne rien dire.

25 novembre 2006

Retour à l'OLYMPIA pour Madeleine...


Je suis retourné à l'Olympia jeudi dernier pour assister cette fois au concert de Madeleine Peyroux...
Bon, je n'étais pas parvenu visiblement à réserver les meilleures places (on était au fond du balcon contre le mur)... plus loin, après tu es sur les genoux du projectionniste par exemple dans un cinéma...
En même temps, nous avons pu apprécier l' acoustique de cette salle et c'est impressionnant.
La salle était comble et pour la première de ses trois dates, l'artiste américaine avait invité des personnes de l'association Abbé Pierre.
Pieds nus sur scène, entourée d'un pianiste, d'un contre-bassiste, d'un guitariste, d'un batteur et d'un trompettiste tous virtuoses dans leur domaine, Madeleine Peyroux nous a déroulé de sa voix "à la Billie Holliday", 19 pièces en s'accompagnant d'une guitare électro-acoustique.
Nous promenant dans divers univers: Tom Waits, Gainsbourg, Chaplin, Joséphine Baker ou même ses propres compositions.
Entre jazz précieux et folk-blues traditionnel, cette chanteuse délicieusement, nous berce de sa voix si particulière, sensible et expressive qui n'est que maîtrise d'étranglements ou de fausses cassures dans ses fins de phrases.
On ne peut qu'être sous le charme et regretter d'être situé aussi loin.
Reste une vue splendide de la scène, magnifiquement mise en valeur par des éclairages superbes (blanc, prune, mauve, nuances de bleu...) qui faisaient terriblement penser à des gerbes de fleurs par moment.
Tous les ingrédients étaient réunis.
Quelques rappels et une interprétation magnifique de ma chanson fétiche "J'ai deux Amours"...
La soirée a décidément passé bien vite.

Prochaine étape: RUFUS WAINWRIGHT le 20/02/07 à l'Olympia ?
Chiche...

L'EQUIPE

De retour de Paris, dans l'avion, je lisais L'EQUIPE... ce "grand" journal sportif.
La première de couverture de couleur noire revenait sur le drame qui s'est produit lors du dernier match du PSG.
Mais l'objet de mon article n'a rien à voir avec cette douloureuse affaire qui est tellement éloignée de l'univers du sport.
Sur une des dernières pages, je suis tombé sur un article concernant la Formule 1...
Et là, je suis resté bouche bée... et me suis surpris à relire le titre de l'article où l'on pouvait voir écrit: "Hamilton, le talentueux pilote noir"... un moment je me suis demandé si je n'étais pas en train de lire la fameuse rubrique "L'EQUIPE, il y a 50 ans..."
Si ce monsieur est si talentueux (et ma lecture en diagonale des différents paragraphes semble le confirmer) pourquoi faut-il préciser la couleur de peau de ce sportif... la conduite de Formules 1 est-t-elle l'apanage des blancs ?
Décidément: on croit rêver par moment... après on s'étonne que le racisme ne choque plus personne et permet même à certains hommes politiques de tenir des propos ouvertement racistes en public...
C'est par ce genre de maladresse, que l'on véhicule des idées de hiérarchie liée à la couleur de la peau sous couvert d'une précision faussement bienveillante.
C'était bien la peine de faire trois pages sur le drame qui s'est produit jeudi dernier en insistant que tout s'était joué sur fond de racisme.
Bravo: on progresse à reculons.

2 cigarettes

J'ai craqué et fumé deux cigarettes au cours d'une soirée... et ben je n'ai rien éprouvé de spécial... pas de joie particulière... pas de goût particulier qui m'aurait conduit à me dire: Wow !
On est toujours en sursis avec ces trucs-là.

18 novembre 2006

Ladies & Gentlemen... THE YARDBIRDS !


Si Keith Relf, Jeff Beck*, Jimmy Page* et Eric Clapton* sont des noms qui n'évoquent rien pour vous... Alors, les YARDBIRDS ne vous diront rien... ce groupe issu des sixties... du British Blues Boom... qui a promu le Rythm'n'Blues dans les années 60 au travers de standards tels que "I'm not talking", "For Your Love" ou "Still I'm Sad" (repris plus tard par un certain Ronnie James Dio au sein de Rainbow) et qui a fait émerger des guitar-heroes de renom*...
Ils étaient sur scène au festival de Blues d'Avignon en guest star après Doug McLeod (seul sur scène accompagné d'une guitare National) puis Paul Lamb (harmoniciste qui utilise des "Marine Band") accompagné d'un groupe péchu...
C'est toujours énorme d'entendre des standards des années 60 joués par des mecs qui ont connu cette époque mythique... Sur la formation actuelle: seuls, le batteur (Jim McCarty) et le guitariste rythmique (Chris Dreja) étaient présents à l'origine du groupe.
Keith Relf, chanteur jugé pas assez charismatique (c'est ce que les critiques lui auront reproché: ne pas être un Roger Daltrey des Who, un Mick Jagger des Stones pour son charisme ou un Eric Burdon des Animals pour la voix), s'est électrocuté en 1976 en accordant sa guitare.
On connaît le parcours d'Eric Clapton, Jimmy Page et Jeff Beck...
Reste cette formation efficace, qui joue avec énergie du Blues-Rock et du Rythm'n'Blues de grande qualité, reprenant les standards du groupe.
Même si certains ont quitté la salle en se disant que c'était du bruit: ils n'ont pas senti planer dans la salle, au dessus du public averti et conquis, l'esprit des 60's...
J'ai eu l'occasion de discuter un moment dans les loges avec l'harmoniciste Billy-Boy (irlandais qui vit en Australie et qui a joué 6 ans au sein de Nine Below Zero (lorsque Marc Feltham s'est absenté) et de faire des photos avec les musiciens et leur apporter du jus d'orange et des pizzas... c'était un chouette moment encore... Et Thierry était encore de la partie... merci à lui pour les accés backstage !
Nous retrouverons Marc Lacaze... je le dis. Ce gars-là est à connaître.
Ses photos sont de toute beauté !...

15 novembre 2006

Poésie éphémère

Une seconde fois,
Comme le sang se retire des veines,
Comme le tissu se déchire,
Une seconde fois.

Une seconde fois,
Mes souvenirs se font plus lointains,
Et tu te retires,
Une seconde fois.

Une seconde fois,
Telle la mer sur le sable,
Tu laisses des traces et tu t'éloignes,
Une seconde fois.

Une seconde fois,
Je plonge dans mes pensées,
Lorsque tu y étais,
Une seconde fois.

Une seconde fois,
Ultime étape ?
La route est longue...
Une seconde fois.

Une seconde fois,
Ce lien restera,
Ce lien sera,
Une seconde fois.

Une seconde fois,
Je me retourne,
Et j'avance,
Une seconde fois.

Une seconde fois,
Ma vie est différente,
Et sera,
Une seconde fois.

Une seconde fois,
Entre regret et amertume,
Tu restes,
Une seconde fois.

Une seconde fois,
Et peut-être un jour,
Le ciel rejoindra l'horizon,
Un seconde fois.

08 novembre 2006

Premier Olympia... et quelle première fois !


Paris: 20h00 hier soir... devant l'Olympia
Salle mythique. Un froid glacial (3/4 °C)
Le public était déjà là, massé à l'entrée...
Eclairé par les lettres de néon rouge:

Et j'étais là... un peu étonné, en train de
réaliser que j'étais là d'ailleurs...
Et pas ailleurs... et que ce parcours du
combattant était terminé.
Je n'avais plus qu'à montrer le précieux
sésame de couleur mauve au videur
chauve et je pourrais pénétrer dans ce lieu
chargé d'histoire.
Pour cette occasion, j'étais en compagnie de
mon ami Jean-Michel (le prénom a
été modifié pour des raisons de confidentialité:
il se reconnaîtra).
Il faut préciser que, le pauvre, il a été courageux
de m'accompagner sur ce coup-là: j'avais un peu
peur qu'il n'aime pas plus que ça...
Nous nous sommes retrouvés donc au 4 ème rang
(carré d'Or) devant la scène, en plein milieu.
Je précise que le concert, unique en France, était
sold-out et l'Olympia était plein donc.
Sauf deux places situées à ma gauche: ils ont dû
être bloqués sur la route...
Le public était assez éclectique, jeunes, moins jeunes,
hommes, femmes mais tous et toutes réunis ce soir-là
pour voir Antony sur scène.
Après une entrée en matière un peu longuette: un
discours fleuve de feu Martin Luther King, les musiciens
sont entrés sur scène (piano, guitare électro accoustique,
basse, violon, violoncelle, clarinette, batterie et accordéon)
Sur la droite de la scène au fond: deux caméras.
Sur la gauche de la scène: une régie complète destinée à
gérer j'en déduis, les caméras et les effets projetés sur
un gigantesque écran situé au fond de la scène.
Une fois l'obscurité rendue à la salle silencieuse: une porte
s'ouvre faisant apparaître un défilé de 13 mannequins
transexuelles, de tous âges, de tous styles (certaines aux
tenues extravagantes de Drag Queen), choisis par le Maître
pour leur beauté, leur caractère et leur incarnation de la
nuit New Yorkaise...
Elles occupent alors le premier rang et vont, les unes après
les autres, se relayer sur scène au fil des chansons
interprétées par le groupe, tournant inlassablement sur un
plateau, leurs visages filmés et mis en scène par le cinéaste
(de l'avant-garde new yorkaise) Charles Atlas.
Le résultat est troublant et les images superposées aux
chansons sont magnifiques: le metteur en scène et ami
d'Antony, parvient à semer le doute dans l'esprit des
spectateurs interdits: "s'agit-il réellement d'hommes ?"
ou devrais-je dire... "s'agit-il réellement de femmes ?"
Même les visages les plus masculins (et là les corps ne trompent
pas) sont réellement mis en valeur par des jeux de lumière et
de travail des lignes du visage au moyen de retouches
et d'effets réalisés par ordinateur.
Vous l'avez compris: le spectacle est partout sur la scène,
les musiciens observent les moindres mouvements du Maître
et exécutent les pièces musicales avec une précision et
un toucher remarquables, tandis qu'Antony, colosse "improbable"
agite son corps de mouvements saccadés et cathartiques, qui ne
sont pas sans rappeler ceux de Joe Cocker (comme me le
faisait remarquer à juste titre Jean-Michel).
Le terme "impressionnant" est tout à fait approprié pour décrire
le sentiment que l'on éprouve à l'écoute de cet artiste.
Sa voix est inclassable tout comme sa musique d'ailleurs.
Il fait preuve d'une précision, d'une finesse, d'une sensibilité rares.
Sa téssiture de voix est tout simplement étonnante. Il parvient
à colorer sa voix par une maîtrise vocale époustouflante, le visage
crispé, la bouche déformée pour offrir la note, le son le plus juste à
son auditoire... Revisitant par l'orchestration ou l'interprétation la
plupart des morceaux que l'on connaît de lui, il me semble que nous
avons eu en prime certains morceaux inédits (4 ou 5 à mon sens).
L'émotion était à son comble dans la salle à l'écoute de pièces comme
"I fell in love with a dead boy" ou "Hope there's someone"...
Le public conquis, acquis ne s'y est pas trompé et frappait de plus
en plus fort dans les mains à l'issue de chaque chanson.
Le final: entouré de ses musiciens et de sa troupe de mannequins,
Antony a clos magnifiquement cet étonnant spectacle par "You are
my Sister" (chanté sur son dernier album, en duo, avec Boy George)

L'Olympia debout, lui a rendu un vibrant hommage ainsi qu'à toute sa
troupe.
Visiblement trés ému, Antony est revenu à plusieurs reprises
aux côté de Charles Atlas pour saluer le public qui ne parvenait pas à
s'arrêter d'applaudir.
Il nous a expliqué que c'était le premier rappel de la tournée,
déclenchant un tonnerre d'applaudissements encore plus important.
Conscient de l'attente du public, il s'est tout de même résigné
à revenir sur scène pour interprêter un dernier morceau et clore la
soirée par un "Bonne Nuit !" et un sourire ravi.
La "Diva" a réussi son Paris.

05 novembre 2006

Variations sur le même thème








Ballade en moto... et photos période bleue










Cet après-midi: j'ai roulé...
Prenant la route des Alpilles direction Mouriès, les Baux et destination Eygalières.
Il faisait limite chaud en moto aujourd'hui (je plaisante: Brrrrrrrr)
Les couleurs des vignes, des oliviers, de la roche sous ce soleil d'automne étaient superbes.
J'en ai profité pour faire quelques essais avec mon appareil photo.
A refaire.

04 novembre 2006

ipod




Et voilà... je suis passé de l'autre côté... j'ai croqué la pomme... fabuleux objet !
Musique, photos, vidéos...
Depuis le temps que j'en entendais parler et que l'on me disait:
"toi qui adore la musique... je ne comprends pas pourquoi tu n'en a pas un..."
Que ceux-là ne me fassent pas le coup pour autre chose... (attendez un peu: merci)

29 octobre 2006

Retour à Avignon



Profitant d'un après-midi merveilleusement ensoleillé... nous sommes retournés à Avignon.
Décidément j'aime cette ville où j'ai traîné mes baskets un paquet de fois mine de rien...
Même si elle est criticable à bien des égards, cette ville - que je qualifierais plutôt de "grand village" - a un charme particulier. Son architecture particulièrement avec ses hôtels particuliers, ses rues pavées par endroit, ses trompe- l'oeil, ses rues piétonnes, ses appartements que l'on aperçoit en levant la tête avec leurs plafonds à la française, son Palais des Papes, ses musées, ses restaurants, ses terrasses de café... il traîne toujours à Avignon un parfum d'insouciance lorsque l'on croise ces milliers de touristes qui profitent, le nez en l'air, des rayons du soleil, des saltimbanques... j'ai écrit il y a une quinzaine d'années un poême sur Avignon au petit matin... il faudrait que je le retrouve. J'aime bien les villes qui s'éveillent... et j'aime décidément beaucoup celle-là...

22 octobre 2006

Chaud Show Case !





Et oui... il fallait venir... après vous allez me demander si c'était bien...!
C'était une rare occasion de pouvoir écouter Stick-up en Live... donc c'était forcément bien !
Le fait de les voir interprêter les morceaux que j'ai fait tourner sur ma platine tout l'été c'était assez étonnant. D'autant plus, que je pouvais chanter quelques refrains ou paroles dans mon coin !
Un Thierry déchaîné, un Hervé facétieux ... (décidément il me fait penser à Keith Moon des Who) un Gilles en grande forme et un Jean-Michel au galop sur ses lignes de basse...
L'onde de choc s'est doucement propagée à travers les rayons du magasin Cultura du Pontet, avec des "C'est qui le groupe qui joue là ?" ou bien "on dirait les Rolling Stones"...
L'embrasement s'est produit dès les premières notes de "Paint it Black"... la connexion était faite. Nous avons donc eu quelques clins d'oeil à leur groupe préféré.
Ils ont interprêté la quasi totalité de leur album dont quatre de mes préférées: "Go With The Flow", "Always a Blues", "Are You Ready" et "Country Walk"...
Je les remercie chaleureusement de m'avoir, une fois de plus, invité à jouer avec eux même si je ne parviens pas toujours (ou assez) à me lâcher... C'est un grand plaisir à chaque fois parce que ces gars-là ne se prennent pas la tête malgré leur talent et qu'ils ont un plaisir intact de jouer...
Vivement les premiers concerts des Midnight Ramblers ! Je vous le dis...
PHOTOS du Show Case avec l'aimable autorisation de Marc Lacaze, talentueux photographe.

15 octobre 2006

21 Octobre à 17 heures

Le 21 octobre à 17 heures dans le magasin Cultura (zone commerciale Avignon nord - Le Pontet), le groupe Stick-up (Thierry et tous ses amis) se produira à l'occasion d'un show-case.
Venez nombreux !

10 octobre 2006

Mon ami BEN...


Un Dôme de Marseille plein à craquer...
Une première partie très intéressante: PIERS FACCINI, entre Ben Harper, The Doors (pour la voix et les ambiances planantes façon Shaman) et Jeff Buckley... si les comparaisons ne sont pas trop hasardeuses...
Un public plutôt jeune entre 16 et 40 ans environ (comparé aux Stones par exemple)
Tout a débuté par un film vidéo amateur tourné par un des membres du groupe, et projeté sur scène pendant que les techniciens s'affairaient...
Où l'on pouvait voir des vues de Marseille, l'arrivée par l'Estaque, l'Evêché, Notre Dame de la Garde, Le Vieux port, Le Frioul etc... Ben Harper se promène à Marseille, Ben Harper fait du bateau... Ben Harper fait la cuisine... non, là je m'égare !
A peine, avait-il mis les pieds sur scène (je ne saurai dire s'il touchait le sol)... que la salle s'est enflammée... telle une allumette au dessus du barbecue...
Ce type dégage quelque chose de je ne sais quoi, qui galvanise littéralement les foules...
Une aura de gourou...
Les titres s'enchaînent à un rythme effréné... il est vraiment très speed...
Ses musiciens sont des monstres... au propre (cf le bassiste) comme au figuré...
Tout est basé sur le rythme: c'est vraiment prédominant: basse, batterie, percussions, un clavier et une guitare en plus de celles utilisées par Ben Harper.
La voix se chauffe au fil des morceaux et les différentes facettes se révèlent...
Quelques reprises ou clins d'oeil: Exodus de Bob Marley ou Superstitious de Stevie Wonder intercalées au milieu de chansons à lui...
Arrive le moment de grâce... tel un ange des temps modernes... sur un fonds de scène représentant un vitrail géant... exécutant un gospel urbain... il s'avance soudain sans micro au bord de la scène... devant le public médusé...
là, malgré les cris agonisants de quelques abrutis décérébrés... il rentre en transe et agite ses longs bras au dessus de la foule interdite... poursuivant son chemin A Capella...
A cet instant là, les poils de mes bras (comme ceux des jambes de la dame à côté de moi) se sont hérissés et mes yeux se sont embués... l'émotion était palpable telle une volute de fumée au dessus de nos têtes, elle circulait parmi nous...
Dans le silence, cette fine silhouette vêtue d'un tshirt avec un tigre blanc, d'une paire de jeans et de baskets attirait à elle plusieurs milliers de personnes...
S'en est suivie, une standing ovation de près de 8000 personnes pendant au moins 4 minutes alors que Ben Harper revenu au milieu de ses musiciens, contemplait son oeuvre...
Donnant des coups d'oeil à droite puis à gauche, silencieux devant ce grondement bienveillant.
C'est à cet instant que l'on peut s'interroger sur le côté "préparé" de cette communion.
Pour le savoir, il faudrait avoir vu les précédents concerts et les suivants pour savoir si oui ou non, l'émotion se crée sur commande.
Toujours est-il que c'est efficace.
Le son du Dôme est perfectible et certains morceaux tournent un peu à la cacophonie tant la présence simultanée d'une batterie déchaînée, d'un bassiste furieux, d'un clavier omniprésent, d'un percussionniste énervé, d'une guitare acharnée et d'une slide guitare pilotée à cent à l'heure par Ben Harper peut conduire, selon la durée des morceaux, à une gêne auditive.
Mais il est généreux le Ben... il fait jouer ses musiciens et nous donne l'occasion de voir son bassiste à l'oeuvre sur un instrumental improvisé groovy funk-jazz de toute beauté... un virtuose ! la basse paraît être un coton tige dans ses mains compte tenu de la différence de gabarit...
Le percussionniste aussi démarre une improvisation avec un jumbe pendant au moins cinq minutes... im-pre-ssio-nnant ! rarement, ou jamais vu ça ! je n'aurais jamais cru que l'on puisse sortir une variété aussi grande de sonorités et de rythmes à la seconde que ce qu'il nous a montré...
Le show se termine sur 4 chansons accoustiques de toute beauté... un halo de lumière verte éclairant Ben Harper seul à la guitare, assis sur une chaise africaine...
Là, la voix se fait murmure, les intonations tantôt des plaintes, tantôt des carresses suaves...
Cet homme excelle dans les balades folk et nous le prouve. La foule se brûle les doigts sur les briquets... les bras s'engourdissent en brandissant les téléphones portables dans l'espoir d'immortaliser sur la puce ces moments exquis.
Après une deuxième standing ovation. Les musiciens reviennent interprêter deux morceaux et le voyage prend fin, saluant le public des ses grands bras, l'ange Ben Harper disparaît dans les escaliers métalliques du Dôme de Marseille, laissant des milliers de personnes orphelines pour un temps, les oreilles pleines de sifflements...
On peut dire que c'était un très bon concert notamment pour l'ambiance et j'ai rarement vu dans une salle de cette taille, autant de bras levés en même temps et une émotion aussi forte, engendrée simplement par la présence d'un homme.
Ben Harper était grand hier soir.
Il faudra surveiller si ce grand artiste est suffisamment capable de se renouveler pour ne pas trop dupliquer d'années en années les recettes qui ont fait son succés jusqu'alors et tomber dans ce que nous pouvons reprocher à un Lenny Kravitz, qui faute de se renouveler à temps , est aujourd'hui quelque peu oublié malgré son talent.

25 days...

Toujours aucune nouvelle de mes cigarettes...
Elles sont officiellement déclarées perdues... tout comme les briquets.
A ce stade de l'enquête, les recherches sont abandonnées.
En espérant ne plus jamais les revoir, mais elles savent où j'habite...

- CLASSIFIED FILE - 10.10.2006

Do not open

Psycho Pénible chez mon ami BEN...

Donc hier était le grand soir... le concert de BEN...
Tout a très bien démarré: bien garé, pas de stress, bonne place en gradin sur la gauche de la scène à une très bonne distance...
Bon, il en fallait une: je l'ai eue à côté de moi...
Alors qu'il restait encore des places, elle jette des coups d'oeil circulaires frénétiques, passe des coups de fil qui n'aboutiront jamais, fait coucou à je ne sais qui dans la foule et s'adresse soudainement à moi: "la place est prise à côté de vous?" - "Non" que j'lui fait...
"Ben alors... (sans jeu de mot NDLR) pourquoi vous ne vous décalez pas ?" (vers la droite pour me coller aux gens)
"Ben pass'que je prends mes aises... voyez ?" que j'lui fait...
"Ah mais si tout le monde fait comme vous..." qu'elle me répond...
A ce stade de la conversation, je m'interroge - myself - et je me dis: "on va être entre 5 et 8000 personnes ce soir et elle m'a choisi... c'est pas possible autrement... elle a trois places à côté d'elle et elle veut absolument que je me déplace vers la droite... c'est une psycho rigide qui ne supporte pas les vides ou les espaces..."
N'ayant pas de possibilités de la faire disparaître au moyen d'un groupe de ninjas qui descendrait en rappel depuis le toit du Dôme... j'ai opté pour un laconique "Si vous voulez la place à côté de moi, je vous la donne mais je n'ai pas envie de bouger, je suis bien là"
Tout ceci ne lui a pas plu... mais moi si.
Elle est allée demander au rang d'après la même chose... puis un peu plus bas...
Et enfin, elle est venue s'intercaler entre deux couples juste devant moi: elle a mis juste une demi-heure pour se poser, un peu à la manière des chiens qui ne savent pas où ils vont se coucher pour dormir ou manger un os... (désolé mais c'est la seule comparaison que j'ai trouvée)
Partout où tu vas, tu tombes toujours sur quelqu'un qui a décidé que son environnement est forcément en butée avec ton espace vital...
J'ai compris après coup qu'elle visait une diagonale, lui permettant de voir la scène correctement... plutôt que de s'expliquer... plutôt que d'être agréable... et de demander si je voulais bien me décaler... elle a préféré me donner une leçon de placement en concert de Ben Harper... Pourquoi faire simple ?

Petit proverbe et moralité de l'histoire:
(de ma composition, à lire à la manière de Renaud)
There's no fun in this "bas-monde,
Wherever I sing my song,
There's always a "cui-cui" beside me,
Wich sings his song aussi...

08 octobre 2006

The TAWNY OWLS !






Il y a des jours comme aujourd'hui où l'on se dit que le bonheur est relativement simple à trouver...
Grâce à mon pote Ronald (qu'il en soit remercié...) j'ai eu l'occasion de découvrir une véritable pépite dont la composition est suffisamment rare pour être ici mentionnée: du son, de l'esprit , de l'énergie et beaucoup d'humilité...
A l'occasion de la Foire aux disques vynils et CD à Salon aujourd'hui, un concert était organisé entre midi et deux avec un groupe de Rockab' excellent: tout simplement...

Ils se nomment les TAWNY OWLS, sont originaires de Lyon et ont enregistré un magnifique CD "HIGH-FLY" chez FOOT TAPPING RECORDS (Label anglais).
Hervé Bessenay à la guitare (Gretch !), Michel Vartanian au chant (Yep' !) et Eric Bessenay à la batterie (Gretch...) accompagné pour l'occasion d'un valeureux contrebassiste (Vince).
Un pur moment de plaisir tellement les ingrédients sont réunis: c'est pro jusqu'au bout du son et de l'interprétation, c'est joué sans aucune volonté d'en mettre plein la vue, c'est efficace... et au bout de leurs instruments... des gens humbles et passionnés...!
Merci pour avoir créé cet espace-temps !

04 octobre 2006

Ben... HARPER ? Pourquoi pas finalement...


Depuis le mois de mars, je sais qu'il est programmé sur Marseille ce lundi 9 octobre 2006... J'ai d'ailleurs acheté son dernier double et comme je n'ai pas craqué réellement sur ce dernier album... j'ai renoncé. La date approchant à pas de loup... au détour d'un bac de magasin de disques, je me suis fait attaquer par un DVD de Ben Harper & The Innocent Criminals: Live At The Hollywood Bowl... au prix auquel je l'attendais depuis longtemps... Après l'avoir visionné... Après avoir réécouté le double Live From Mars... J'ai été pris d'une panique subite: Pourrais-je seulement vivre sans avoir vu Ben Harper à Marseille ? Y aura-t-il une vie après avoir vu et écouté Ben Harper ? Ben Harper a-t-il une maison à Marseille ? Et si Ben Harper se présentait face à Ségolène Royale ? Faut-il vendre des places de Ben Harper en pharmacie ? Autant de questions sans réponses aujourd'hui... Aussi, n'écoutant que mon courage... j'ai décidé d'aller au coeur de l'information lundi soir... "Excuse me Mr" (petit message à mon banquier)

01 octobre 2006

Un Pas Vers Les Etoiles...



On vient de me faire un joli cadeau: une Bande Dessinée.
Son titre: UN PAS VERS LES ETOILES dans la collection Latitudes, un scénario de Jérôme Félix, dessin de Joël Parnotte, couleurs de Delphine Rieu. Je vous la recommande pour l'originalité de l'histoire. Les personnages de ce compte moderne sont attachants et le rythme est vraiment très rapide ce qui nous conduit inéxorablement à dévorer cette BD.

27 septembre 2006

Twelve Days !

Cela fait maintenant 12 jours que nous sommes sans nouvelles des 3 briquets, des 6 paquets de cigarettes de marque BIP appartenant à notre confrêre.
Seuls indices: les deux cendriers de la maison ont été récemment vidés.
Aucune demande de rançon n'a été formulée jusqu'alors par les ravisseurs présumés.
De source officielle proche de l'enquête "il y a peu d'espoir de revoir vivants les objets sus-nommés et à fortiori, nonobstant le peu de pistes jusqu'alors privilégiées, il semblerait qu'en définitive, on ne puisse pas, pour autant, déterminer avec certitude toutes les responsabilités dans cette affaire"

Le Bonheur à la Bonne Heure !


MERCI à toutes celles et ceux qui ont eu la gentillesse de penser à moi à l'occasion de mon ANNIV'...
Des milliers de sms, mails et appels téléphoniques me sont parvenus des 4 coins de mon monde et j'AVOUE: ça fait énormément plaisir...
J'en profite ici pour rappeler aux personnes à qui je ne souhaite jamais leur Anniversaire, d'essayer de ne pas m'en vouloir... je n'ai jamais pris le temps de noter toutes les dates de chacun et de chacune. Il faut que je le fasse car ça m'évitera de me sentir mal quand je me rends compte que ça fait deux jours et que je n'ai rien fait...
Je vous adresse à chacun et chacune d'énormes bises en retour et merci d'avoir pensé à moi !

Comme chaque semaine, je vous propose en téléchargement gratuit un fonds d'écran original à coller sur votre bureau. Vous aurez mes pieds sur votre écran et la mer au fonds !

24 septembre 2006

Autoportrait


Quand je dessine... et c'est pas souvent...

23 septembre 2006

Le Zèbre: mon Zanimo préféré


Zèbre, tu es mon animal préféré...
Nom Latin:
Equus Burchelli
Ordre des
Périssodactyles (par opposition aux Ptérodactyles je suppose, qui avaient eux, des ailes... mais on en trouve plus)
NDLR: l'ordre des périssodactyles regroupe les mammifères ongulés qui ont un nombre impair de doigts aux pieds, le poids du corps reposant sur le doigt médian.

21 septembre 2006

Plus que quelques jours et quelques jours pluvieux...

C'est bientôt mon anniversaire... il a un gôut particulier cette année.

19 septembre 2006

Gomme à Mâcher...

Pour ceux que ce feuilleton passionne: j'ai tenu bon et donc je peux dire, à l'heure qu'il est, que cela fait maintenant 4 jours que je n'ai pas touché une cigarette.
Les tentations sont nombreuses, les occasions multiples et les risques innombrables...
Je me suis armé de trois tubes homéopathiques (Lobelia Inflata 5 CH pour la désaccoutumance: 5 granules à chaque envie de fumer, Nux Vomica 9 CH pour l'irritabilité et le besoin de manger: 5 granules 2 fois par jour et Staphysagria 15 CH pour la gestion de la frustration: 5 granules 2 fois par jour) et de plusieurs paquets de chewing gum (Gomme à mâcher NDLR)
Je suis pour l'instant assez étonné car aujourd'hui, je n'ai éprouvé le besoin de prendre des granules qu'une seule fois vers 21h00.
Rien n'est joué, rien n'est gagné mais cela se passe assez bien pour l'instant.
Et je parviens à retrouver une certaine sérénité que je n'avais pas dans les premiers jours.

17 septembre 2006

J'arrête de fumer: cela peut nuire à mon entourage...



OUI, contrairement aux idées reçues et communément répandues, il n'y a pas que le fait de fumer qui peut nuire à votre entourage.
Le fait de S'ARRÊTER DE FUMER PEUT aussi GRAVEMENT NUIRE A VOTRE ENTOURAGE...
Des études montrent que votre irritabilité, votre propension à vous jeter sur les biscuits apéro lorsque vous êtes invité, vos démarrages au quart de tour à la moindre suggestion ou remarque, votre manque d'humour soudain et vos attitudes d'ours sont de nature à endommager sérieusement vos relations avec vos proches.
J'ai pris la décision d'arrêter de fumer lundi 11 septembre 2006.
Fidèle à ma technique qui m'a déjà permis de m'arrêter 3 fois et plus de 3 ans à chaque fois, j'ai commencé par réduire à 11 lundi, 8 mardi, 5 mercredi, 4 jeudi, 1 vendredi, zéro samedi et zéro aujourd'hui...
Comme à chaque fois: c'est pas simple. Mais je suis motivé.

NB: Afin de ne pas dégrader plus avant nos relations, vous êtes priés d'attendre que je vous en parle avant de me demander si je tiens bon, la prochaine fois où vous me verrez ou m'aurez au téléphone... MERCI de votre compréhension.

14 septembre 2006

La Voix du Bluegrass: Dan Tyminski

Peut-être avez vous craqué sur la BO du film des frêres Coen: O Brother Where Art Thou ? Le titre phare s'intitule: The Man With Constant Sorrow ("L'homme dans la peine permanente" - traduction littérale) - George Clooney et ses deux compères (évadés de prison) + un guitariste de rencontre (allusion à la légende de Robert Johnson) interprêtent cette chanson à deux reprises dans le film et font un véritable "tabac" qui les sauvera peut-être...

Cette voix prêtée à George Clooney n'est autre que celle d'un artiste de Bluegrass nommé Dan Tyminski, guitariste / mandoliniste de folie du groupe d'Alison Krauss: Alison Krauss & Union Station depuis 1994.
Il est né en 1967 à Rutland (Vermont) et joue de la musique depuis l'âge de 6 ans poussé et encouragé par son frêre avec lequel ils ont très vite monté un groupe de Bluegrass.

Sa voix puissante et auth
entique doublée d'une technique virtuose aussi bien à la guitare qu'à la mandoline, font de lui une référence dans le monde du Bluegrass. Cette année, il a été nominé 11 fois et remporté 4 awards à l'occasion de l'International Bluegrass Music Awards (Meilleur artiste masculin de l'année, Chanson de l'année, Album de l'année et Meilleur morceau instrumental de l'année) grâce à son album CARRY ME ACROSS THE MOUNTAIN.
Je ne voulais pas vous faire supporter l'investissement d'un tel achat... j'ai donc décidé de montrer l'exemple et de me le procurer via les States.
Je ne devrais pas tarder à le recevoir. Je vous en dirai davantage dès que je l'aurai fait tourner sur ma platine.

13 septembre 2006

OLYMPIA me voilà... ANTONY me voici...

Yeeeeeeeeeeees !
Après plusieurs mois de traque et de surveillance de ses dates de tournée (USA et Europe) sur internet, j'ai récemment découvert qu'Antony & The Johnsons avait programmé une date à l'Olympia, à Paris le 7 novembre.
Ni une, ni deux, j'ai acheté mes places et je vais enfin avoir l'occasion de VOIR et d'ECOUTER cet artiste fascinant.
Telle une Diva, il donne peu de concerts et privilégie des salles prestigieuses si bien que les possibilités de le voir sont réduites et il ne faut pas hésiter trop longtemps.
Le concept de ce spectacle est étonnant puisque il s'intitule TURNING et il présente la particularité d'associer la musique et la voix d'Antony & The Johnsons (accompagné de 8 musiciens) à une scénographie créée par le réalisateur et artiste visuel Charles Atlas.
Un montage de séquences vidéos transformées et assemblées à partir d'images live de 14 top modèles américaines présentes sur scène (!) est projetté durant le concert. Cette association d'une voix, d'une musique et d'images " font de ce spectacle une expérience unique qui explore les états de l'innocence, de la métamorphose, et de la transcendance spirituelle..." Tout un programme ! Je ne suis pas certain d'y voir tout ce que l'auteur a voulu nous montrer mais à la base j'y vais surtout pour Antony & The Johnsons.
Je vous raconterai !
(Une première élaboration de Turning a été présentée en avant-première à la biennale du Withney Museum of American Art à New York en 2004)

09 septembre 2006

Une Invitée depuis quelques jours: Maguy


Je vous présente Maguy ma guitare. Maguy, ma guitare est chez moi depuis maintenant deux jours. Elle est accordée. Elle attend patiemment que j'ai deux heures devant moi pour que je m'intéresse enfin à elle. Je sens que l'on va bien s'amuser tous les deux. Je crois aussi qu'elle va être morte de rire pendant un bon p'tit boud' temps... Jusqu'au jour... où j'amènerai Maguy, ma guitare faire un tour au vide grenier du coin car je ne supporterai plus de l'entendre se moquer... Mais pour l'instant: on s'entend bien c'est le principal.

LE SOMMEIL... c'est primordial !



Deux manières de dormir: sur le dos pour un bon maintien de la colonne vertébrale... et "en chien de fusil" pour recréer les sensations du ventre maternel... essayez !
Sur la photo: ma copine Miqueline qui vous fait une démo... elle est frelonne de son état...
et un peu plus encore...

VOUS AIMEZ LES STONES ?... VOUS ALLEZ ADORER STICK-UP !

Vous aimez les Stones ? Vous aimeriez les voir ou les entendre ?
Alors précipitez vous sur le site de ce groupe
: STICK-UP...
Ils sont français, habitent près d'Avignon, sont animés par une passion commune: les Stones...
Après avoir fait de la cover (parfaite) de leur
groupe préféré pendant plus de 20 ans (sous le nom des Starfuckers), ils ont mis en commun leurs idées pour enregistrer un CD qui regrouperait des compositions perso avec le son et l'ambiance des Stones.
Le résultat est tout simplement "bluffant". L'album s'intitule Chemical Reaction et, force est de constater qu'elle se produit... On fait des aller-retours entre le rêve et la réalité tant la voix de Thierry peut se confondre avec celle de Mick Jagger, tant la section rythmique basse - batterie (Jean-Michel et Hervé) assure un tempo impeccable, les solos de guitare sont bien sentis et le clavier est digne de ce cher Nicky Hopkins. Une mention toute particulière pour la "Wonderful Denise" (Truly Lovely Mademoiselle) qui fait un superbe duo avec Thierry sur cet album. Les idées originales et l'énergie qu'ils ont réunies font de ce disque le meilleur disque que les Stones n'ont pas sorti !
(Je sais: je ne suis plus très objectif... je dérape...). Cette précieuse galette est en vente à Cultura Avignon Nord: précipitez-vous ou commandez là sur leur site internet: www.stick-up.net
Et j'en profite pour les remercier pour leur gentillesse et leur accueil @+ les gars !

07 septembre 2006

KEEP ON HARPIN'

Quelques photos autour d'un morceau de boeuf avec Thierry (Guitariste et chanteur du groupe Stick-Up) au Festival de Blues d'Althen Les Paluds (84) en Juillet.
Et un autre morceau de boeuf en compagnie de
Monster Mike Welch (USA)
Merci Thierry pour cette excellente soirée !


PLEIN ZOOM

J'adore la photo...
en voici quelques unes parmi mes préférées...

Vous y trouverez des photos de voyage (Maroc, Espagne, Portugal) des fleurs, des concerts (U2, Eric Clapton, The Rolling Stones, BB King, Chuck Berry, Robbie Williams), des animaux et puis plus tard d'autres choses encore plus vivantes...





















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